A la fin des années 70 quand un B-boy commençait à avoir de la notoriété, il soignait sa garde robe
La sneakers représentait la base de son style, mais saviez vous que les fat laces qu’il arborait avec sa paire était l’élément visuel le plus important.
La plus part du temps la modification était faite maison à partir de lacets standards dont les options de couleurs étaient essentiellement limitées au noir, blanc ou marron.
Pour rehausser l’éclat de leurs lacets, les B-boys les ont simplement teints, ils ont écrit leur nom, le nom de leur crew, ou les ont customisés pour exprimer davantage leur individualité…
Ceci n’est pas une chaussure de sport , ceci est une culture…