Sortie pour la première fois en 1997, la Nike Foamposite One a fait son come back pour le All Star Game 2012 avec un imprimé galactique sorti d’une « autre planète ». La paire est dotée d’une semelle intermédiaire en Polyuréthane, d’une semelle exterieure translucide et de surcroit « glow in the Dark » ainsi que d’une unité Zoom au talon qui lui confère un amorti agréable et vif à la fois, bien utile en accélération et pour les changements rapides de direction. La matière propre à la Foamposite a des caractéristiques qui lui permettent de se mouler parfaitement au pied de l’utilisateur et ainsi de créer un ajustement personnalisé puisqu’il s’agit d’une seule pièce synthétique qui n’est pas extensible. Il faut noter que de très nombreux coloris on vu le jour depuis bon nombre d’années avec les rééditions successives. On se souviendra notamment de la Black/ anthracite, de la Black/ bright cactus, de la Dirty copper rééditée en 2010 ou encore de l’Electrolime sortie en 2012 et faisant clairement référence à l’équipe NBA des Golden States Warriors. D’autre part il est important de signaler que la Foamposite a été la première chaussure de chez Nike à utiliser la technologie du même nom qui a ensuite évolué avec des matériaux plus léger et que l’on retrouvent sur la non moins réputée Nike flightposite. La Foam était lors de sa sortie en 1997 la paire la plus chère dédiée au basket ball de la marque au swoosh puisque son prix était de 180 $. La réputation de cette paire provient aussi du faire qu’elle fût une « signature shoe » du joueur NBA Penny Hardaway. Pour l’anecdote, Mike Bibby fut le premier à chausser le modèle lors qu’il jouait pour l’université des Arizona Wildcats. En 2012 la « galaxy » a créé un engouement rare auprès des sneakers addict puisque bien avant sa sortie le 24 fevrier de cette même année, des files interminables d’acheteurs ont vu le jour aux abords des boutiques faisant accroitre le buzz médiatique autours de cette paire. À peine sortie, la paire se vendait à des prix mirobolant sur eBay…
S.A